mila-kunis tumblr

un joli titre tout mignon.

Nom △ Windsor
Prénom △ Lullaby Elizabeth
Âge △ 25 ans
Date de naissance △ 13 Juin
Nationalité △ Américaine

prise de sang

Année d’internat : première année
Spécialisation ou souhait de spécialisation : chirurgie pédiatrique
Pourquoi devenir médecin ? Quand votre père est un des plus grand neurochirurgien du monde entier, est ce que vous avez vraiment le choix ? non. je suis devenue médecin parce qu'il le voulait et parce que c'était les seules études qu'il voulait bien me payer. Mais croyez moi, je suis bien dans ce choix. Je suis médecin parce que je le veux, je veux aider les gens, surtout les enfants.
Le contenu de votre casier : Du linge de rechange, mes clés, quelques barre tendres et du chocolat, ah oui et ma médaille olympique dans le fond de la tablette du haut. Ne pensez pas que je ne suis pas fière, je n'aime simplement pas l'afficher.
Comment prenez-vous votre café ? noir et seulement noir.

Acte I

« Papa, papa!! Allez viens, viens jouer! » Richard Windsor regarda sa petite fille de quatre ans qui voulait simplement aller jouer dehors avec son papa et soupira d’impatience. Pourquoi avait-il accepté d’avoir un enfant. [color=olive] « Je peux pas Luby, je dois aller travailler. »[/ color] La petite fille avait l’eau aux yeux, elle voulait simplement passer du temps avec son papa, elle n’avait que quatre ans. Richard se dirigea vers l’escalier. « Angela!!!! Ta fille veut jouer. » Richard Windsor était et est toujours un des neurochirurgiens les plus talentueux, demandés et cher payé au monde. Il a ouvert sa propre clinique à la naissance de sa fille, il travaille pour un bon montant dans les hôpitaux et il est toujours sur un cas, un père bien peut présent qui dès la naissance de sa fille comptait en faire une neurochirurgienne pour reprendre la clinique, mais la chose n’allait pas ce faire comme prévu.

Acte II

« Une jambe cassée, deux fractures des côtes et quelques bleus. Et vous êtes mieux de vous en occupez comme du monde! C’est ma fille! » Lullaby avait tout juste dix ans lorsqu’elle est arrivé à l’hôpital ou travaillait souvent son père. Une jambe cassé, plusieurs bleus, deux côtes fracturé. Pourquoi ? Elle avait déboulé les escalier c’est ce que son père à dit toutefois et elle était inconsciente en arrivant, alors qu’est ce que vous vouliez qu’elle dise. Elle se réveilla une journée plus tard, la jambe dans le plâtres, les côtes réparé et toujours couvertes de plusieurs bleus. Deux médecins étaient dans la salle, avec sa mère et son père. « Alors Lullaby, qu’est ce qui c’est passé ? » Luby regarda autour d’elle, son père, sa mère, les médecins. Elle ouvrit puis ferma la bouche. Les médecins demandèrent à son père de sortir, il s’emporta bien évidemment. Il fini tout de même par sortir. Luby dit la même chose que son père, un accident, elle était tombée dans les escaliers voilà tout. C’était en parti vrai, il faut simplement ajouter que son père l’y avait tout simplement poussé. Richard Windsor était un homme violent qui s’en prenait à sa fille qu’il n’avait jamais voulu. Elle voulait simplement l’approbation de son père, alors elle se taisait, mais la chose est que ça ne changerait jamais, pas tant qu’elle irait vivre ailleurs.


Acte III

« Non Luby tu ne sors pas! Tu étudis! C’est pas en allant te trémousser je ne sais où que tu va entrer à Harvard! » les choses avaient changées depuis six ans. Luby était une grand fille, la tête haute du haut de ses 16 ans elle défiait maintenant son père. Il avait trompé sa mère, qui était partie de la maison en pleine dépression, il avait eue la garde de sa fille, elle le détestait amèrement, mais elle c’était jurée de rester forte et de le ruiner. Il lui donnait beaucoup d’argent, qu’elle gardait, se faisant sa propre fortune. « J’y vais que ca te plaise ou non ! T’es qu’un salopard, qu’est ce que tu va faire hein ? J’ai pu six ans! » Il lui calla une bonne giffle directement, mais même sous le choc, elle avait apprit à se défendre. Elle lui mit un poing au visage, mais son père, le grand Richard n’allait pas se laisser faire par sa propre fille. Elle ne sortit pas cette soirée là, elle se retrouva à l’hôpital. Ne croyez pas que personne ne savait ce qui se passait, mais personne ne voulais le croire, ni le voir. Richard Windsor était aimable et aimant, super docteur toujours empathique et sympathique, il ne pouvait pas faire ça à sa fille. Deux jours plus tard, la police cogna à leur porte. Angela c’était suicidé, la dépression l’avait emporté sur elle. « C’est de ta faute! Enfant de chienne, sale putain de crétin prétincieux! » Luby, la jambe dans le plâtres pour une énième fois, certaines à cause de son père, d’autre simplement parce que madame fait du ski de compétition, ne pouvait faire grand-chose contre son père, elle utilisait une béquille comme appuis et l’autre pour frapper son père. Il ne répliqua pas, il laissa sa fille lui crier des imbécilités et le frapper à coup de béquille, elle ne pouvait pas aller bien loin et il le savait.

Acte IV

Le père et la fille ne se parlent plus vraiment et il ne la touche plus, il a trop à perdre. Il lui donne toujours autant d’argent qu’elle souhaite et elle en abuse le plus possible, elle eut le faire payer. Luby semble être une fille de riche, hautaine et froide et elle se plait dans cette image qui tient les gens à distance. Elle avait des amis proches et avec eux, c’était la plus belle personne que vous pouviez voir. Souriante, drôle, un brin sarcastique, mais absolument rayonnante, malheureusement Richard Windsor avait brisé sa fille. Elle fut acceptée à Harvard et aussi dans l’équipe de ski des États-Unis. Allez savoir comment cette fille à réussi à maintenir hautes notes et olympique de Vancouver, mais elle y est arrivé et elle a ramenée une médaille, mais elle n’est pas de celle qui s’en vante. Elle se vante de ses notes, de son excellence en médecine, mais pas de sa carrière de skieuse. Luby a Harvard a laissé sa marque, meilleure élève jamais vu, passionné, rigoureuse… Elle semblait mener la vie parfaite, elle était riche, sans dette, marié qui plus est et médaillé olympique. Dans trois mois, elle allait être Interne à Chicago, le rêve. Le rêve de Luby ? finir par un peu moins brisée, laisser sa marque sans son père et sans sa médaille.

Acte V

Dans deux mois, Luby serait interne, elle aurait cette vie parfaite. Mitch, son mari, il avait creusé pour la connaitre, il était simplement sa fondation. Il était aimant, toujours là pour elle, il la comprenait, il savait pour son père et il ne la jugeait pas. Il était simplement, celui dont elle avait rêvé, mais peut-être pas. « Je veux un divorce » Mitch la regarda les deux yeux ronds, il était résident dans un autre hôpital de Chicago. « Luby, mais de quoi… » Elle se leva, énervée. « Tu m’as trompé! Oh ne me regarde pas comme ça et ne nie surtout pas! La prochaine fois ne laisse pas ton numéro de la maison! » La fille avait laissé un message on ne peut plus chaud sur leur répondeur. Il essaya de plaider sa cause, il l’aimait, bla bla bla, qu’il ait en enfer, elle avait eue un père comme ça, elle n’avait pas besoin d’un mari comme ça. « Je te veux dehors de ma maison dans deux heures. » Elle prit ses clés et parti faire de la route pendant deux heures. Mitch était partit, il avait laissé une note, qu’elle ne lu jamais. Elle entra en internant, elle n’est pas là pour se faire des amis, ou un autre marié Luby ne veut pas qu’on sache qui elle est, mais malheureusement, ça va se savoir assez rapidement.